L’Islam recommande tout bien, interdit tout mal et prône la pratique d’un ensemble de règles de conduite et de belles vertus comme la véracité, la clémence, la retenue, la douceur, l’humilité, la pudeur, le respect de la promesse, la dignité, la compassion, l’équité, le courage, la patience, la disponibilité (aux autres), la probité, le désintéressement, la bienfaisance, la tolérance, l’honnêteté, la gratitude et la maîtrise de soi (en cas de colère). L’Islam recommande la piété filiale, le bon entretien des relations de parenté, l’assistance aux sinistrés, le bon traitement du voisin, la bonne gestion des biens de l’orphelin, la compassion envers le petit, le respect pour le vieux, la douceur dans le traitement des domestiques et des animaux, l’enlèvement des ordures, la bonne parole, le pardon, la renonciation à la punition à partir d’une position de force, le bon conseil donné par un musulman à un autre, la satisfaction des besoins des musulmans, accorder au débiteur en difficulté, la pratique de l’altruisme et du partage, le consolation (des autres), sourire aux gens, s’enquérir de l’état des malades, secourir l’opprimé, offrir des cadeaux aux compagnons, bien traiter l’hôte, bien se comporter à l’égard de l’épouse, assurer l’entretien vital de sa conjointe et de ses enfants, diffuser le salut (salam) et demander la permission avant d’entrer dans une maison, afin de ne pas violer l’intimité de ses habitants. Si certains non musulmans accomplissent certaines de ces choses là, ils les font à titre de règles générales de bienséance. Mais ils n’en espèrent ni rétribution ni récompense (divine), ni succès ni bonheur dans l’au-delà. #TonFrèreAkhy