J'ai appris que pour être heureux(se), il faut avoir été très malheureux(se). Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide. J'ai appris aussi qu'l y a toujours une partie de : « Vérité » dans « Je plaisante » « Sentiment » dans « C'est rien » « Douleur » dans « Je vais bien » « Blessure » dans « Ce n'est pas un problème » « Amertume» dans « Ne t'inquiète pas pour moi » Et beaucoup de mots dans chaque silence.