En fait, dès que nous sommes confrontés à une bonne affaire, notre cerveau produit de la dopamine, sorte de neurotransmetteur du bonheur que l’auteur appelle le « byagra » en français, on pourrait traduire par « l’achagra ». Si certains organismes arrivent à évacuer la dopamine sans même sans rendre compte, d’autres possèdent une déficience génétique qui empêche cette évacuation. Oui, c’est grossier comme explication mais les détails de l’analyse d’un caryotype, c’est chiant. Du coup, les gens qui « souffrent » de ce gène un peu fainéant se retrouvent dans un état d’excitation tel qu’il leur est impossible de résister à des soldes qui valent le coup. « Ça marche à peu près comme n’importe quel stupéfiant » explique l’auteur. « Dès que ces addicts aux bonnes affaires voient une pancarte indiquant “Soldes”, ils sont accrochés. » précise-t-il. Source : http://goo.gl/ndz5ni Dormir Moins bête Sofiane